Sous la ramée, pour essayer les costumes, procéder à quelques lectures, avant de monter sur le pré humide des dernières ondées pour répéter cette première scène Fracasse, où les comédiennes de la troupe, à la recherche de Matamore égaré dans la tempête de neige, découvrent le soldat étendu dans l'herbe et le prennent pour leur vieux compagnon de tréteau.
La pièce fonctionne donc sur le vieux principe du quiproquo.
De ce mot, d'origine latine, voici l'étymologie qu'en donne le toujours précieux CNRTL :
Étymol. et Hist. 1370 rendre quid pro quo, chose pour chose (Oresme, Ethiques, éd. A. D. Menut, VIII, 18, p. 447); 1458 avoir un quid pro quo « se tromper, se laisser abuser » (A. Greban, Passion, éd. O. Jodogne, 23252); 1466 vendre qui pro quo « abuser l'acheteur en lui vendant une chose pour une autre » (Pierre Michault, Doctrinal du temps présent, éd. Th. Walton, XXXVIII, 345); 1482 qui pro-quo « médicament donné à la place d'un autre » (Guillaume Flamang, Vie St Didier, éd. J. Carnandet, 421); 1541 qui pro quod « confusion consistant à prendre une chose pour une autre » (Calvin, Institution, éd. J.-D. Benoît, III, IV, p. 107). Loc. de lat. médiév. qui pro quod, qui pro quo ou quid pro quo signifiant « quelque chose pour quelque chose » utilisée notamment dans la lang. de la pharm. pour désigner la substitution, volontaire ou non, d'un médicament à la place d'un autre (Sain. Lang. Rab., t. 1, p. 403; Du Cange).
Dans les sources citées je vois Calvin, ce qui me fait songer au petit Calvin (qui doit sans doute plus à Calvin Klein qu'au sombre prédicateur protestant), enfanté il y a peu par ma nièce Emma, qui fit partie de la distribution en 2006, où elle incarna une des fillettes de la Fête étrange.
Elle tourne la roue du temps. Gaël, le petit Gaël qui poussait là encore en 2006 le fauteuil roulant de Stéphane dans la scène du monument aux morts, a eu son bac S, avec mention Très Bien et félicitations du jury. Bravo à toi, Gaël. Je suis heureux de te compter encore des nôtres où tu seras, j'en suis certain, un excellent Puck et un valeureux Lebrac.
La pièce fonctionne donc sur le vieux principe du quiproquo.
De ce mot, d'origine latine, voici l'étymologie qu'en donne le toujours précieux CNRTL :
Étymol. et Hist. 1370 rendre quid pro quo, chose pour chose (Oresme, Ethiques, éd. A. D. Menut, VIII, 18, p. 447); 1458 avoir un quid pro quo « se tromper, se laisser abuser » (A. Greban, Passion, éd. O. Jodogne, 23252); 1466 vendre qui pro quo « abuser l'acheteur en lui vendant une chose pour une autre » (Pierre Michault, Doctrinal du temps présent, éd. Th. Walton, XXXVIII, 345); 1482 qui pro-quo « médicament donné à la place d'un autre » (Guillaume Flamang, Vie St Didier, éd. J. Carnandet, 421); 1541 qui pro quod « confusion consistant à prendre une chose pour une autre » (Calvin, Institution, éd. J.-D. Benoît, III, IV, p. 107). Loc. de lat. médiév. qui pro quod, qui pro quo ou quid pro quo signifiant « quelque chose pour quelque chose » utilisée notamment dans la lang. de la pharm. pour désigner la substitution, volontaire ou non, d'un médicament à la place d'un autre (Sain. Lang. Rab., t. 1, p. 403; Du Cange).
Dans les sources citées je vois Calvin, ce qui me fait songer au petit Calvin (qui doit sans doute plus à Calvin Klein qu'au sombre prédicateur protestant), enfanté il y a peu par ma nièce Emma, qui fit partie de la distribution en 2006, où elle incarna une des fillettes de la Fête étrange.
Elle tourne la roue du temps. Gaël, le petit Gaël qui poussait là encore en 2006 le fauteuil roulant de Stéphane dans la scène du monument aux morts, a eu son bac S, avec mention Très Bien et félicitations du jury. Bravo à toi, Gaël. Je suis heureux de te compter encore des nôtres où tu seras, j'en suis certain, un excellent Puck et un valeureux Lebrac.