La tradition est respectée : un des dimanches de juin, en l'occurrence le 15, sera l'occasion d'un pique nique dans les ruines. Cette rencontre c'est le premier maillon de la longue chaîne de répétitions qui nous conduira au 24 juillet, soir de la première. Des retrouvailles détendues où il s'agit surtout de réchauffer les braises de cet esprit de troupe indispensable pour venir à bout de tous les défis qui nous attendent.
J'espère que nous serons nombreux, même si je sais que certains, trop éloignés, ne pourront faire le déplacement. Il y aura quelques lectures, des mises en place sommaires, mon intention est surtout de donner à voir, de faire advenir de l'envie, du désir. Chaque spectacle est une aventure, un vaisseau rêveur où il faut embarquer corps et âme. Faire monter tout le monde dans la nef des fous, voilà mon programme.
L'affiche a été choisie, non sans difficulté comme toujours, après d'âpres discussions, mais c'est tout à fait normal. Merci à ceux et celles qui ont déposé des projets, et bravo à Mister G. Tupolev (non, il ne s'agit pas d'un pseudonyme) qui l'a emporté, avec ce format allongé qu'il affectionne (il l'avait déjà adopté en 1998 pour l'affiche du premier spectacle que j'ai mis en scène à Cluis, La Fille du Capitaine, en un sens on peut dire que la boucle est bouclée).
J'espère que nous serons nombreux, même si je sais que certains, trop éloignés, ne pourront faire le déplacement. Il y aura quelques lectures, des mises en place sommaires, mon intention est surtout de donner à voir, de faire advenir de l'envie, du désir. Chaque spectacle est une aventure, un vaisseau rêveur où il faut embarquer corps et âme. Faire monter tout le monde dans la nef des fous, voilà mon programme.
L'affiche a été choisie, non sans difficulté comme toujours, après d'âpres discussions, mais c'est tout à fait normal. Merci à ceux et celles qui ont déposé des projets, et bravo à Mister G. Tupolev (non, il ne s'agit pas d'un pseudonyme) qui l'a emporté, avec ce format allongé qu'il affectionne (il l'avait déjà adopté en 1998 pour l'affiche du premier spectacle que j'ai mis en scène à Cluis, La Fille du Capitaine, en un sens on peut dire que la boucle est bouclée).