Rendez-vous à 11 h 30 à France Bleu Berry, je remonte sur Châteauroux, trouve l'orage tapi dans la forêt, autant d'eau qui ne se déversera pas sur les ruines (positive attitude). Hervé est déjà là, Bruno nous rejoindra en cours de route.
On a droit à deux fois cinq minutes, fini les grandes émissions d'autrefois, il faut faire synthétique et aller à l'essentiel. J'ai toujours beaucoup de mal à faire le pitch de l'histoire. La guerre de 14-18, oui, mais pas seulement. Et je ne veux pas déflorer l'intrigue en en disant trop.
On parle de pièce onirique, ça ne mange pas de pain.
Et puis Hervé a eu l'idée, que l'animateur a jugé bonne, de jouer un extrait de la pièce. Tout seul, il nous refait Tirette et Paradis. Pour l'onirisme, ça se pose là...
Mais c'est très bien comme ça, car cela montre l'humour aussi, très présent dans le spectacle.
Le soir, c'est Bip TV qui débarque, un jeune saisonnier (qu'il me pardonne, j'ai oublié son prénom, David peut-être), bien chargé avec sa lourde caméra et son pied télescopique. Je suis interviewé, ainsi que Merlin et Alex, et puis c'est Christian émoustillé par l'idée de passer dans le poste, et quelques enfants. L'échauffement s'en trouve réduit à portion congrue. Lettre de poilu, derniers mots d'encouragement, et allez.
Cette seconde sera belle, devant un public encore peu nombreux, mais attentif et chaleureux. Que du bonheur. J'en redemande dix comme ça.
On a droit à deux fois cinq minutes, fini les grandes émissions d'autrefois, il faut faire synthétique et aller à l'essentiel. J'ai toujours beaucoup de mal à faire le pitch de l'histoire. La guerre de 14-18, oui, mais pas seulement. Et je ne veux pas déflorer l'intrigue en en disant trop.
On parle de pièce onirique, ça ne mange pas de pain.
Et puis Hervé a eu l'idée, que l'animateur a jugé bonne, de jouer un extrait de la pièce. Tout seul, il nous refait Tirette et Paradis. Pour l'onirisme, ça se pose là...
Mais c'est très bien comme ça, car cela montre l'humour aussi, très présent dans le spectacle.
Le soir, c'est Bip TV qui débarque, un jeune saisonnier (qu'il me pardonne, j'ai oublié son prénom, David peut-être), bien chargé avec sa lourde caméra et son pied télescopique. Je suis interviewé, ainsi que Merlin et Alex, et puis c'est Christian émoustillé par l'idée de passer dans le poste, et quelques enfants. L'échauffement s'en trouve réduit à portion congrue. Lettre de poilu, derniers mots d'encouragement, et allez.
Cette seconde sera belle, devant un public encore peu nombreux, mais attentif et chaleureux. Que du bonheur. J'en redemande dix comme ça.